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Les Galaxies éclatent une à une dans la tête, l’explosion fait naître des voies lactées aux voix laiteuses. Peaux parfumées sur lesquelles vous pouvez déposer un baiser, il suffit d’avoir des lèvres solaires. Les frissons parcourent les quatre cents corps. Les huit cents yeux des quatre cents corps clignent tendrement, en proie au vertige. Quel drame ! Il pleut des pseudos discutions littéraires ! Quel bonheur ! La fleur du jour est cueillie ! Avec insouciance et feu de plus ! Les voies lactées dégoulinent paresseusement sur le ciel d’encre. As-tu déjà vu quelque chose de plus charmant ? Je ris quand je te vois t’enfoncer dans le canapé, on ne voit bientôt plus que deux jambes habillées d’un vieux pantalon en velours bordeaux.

Les Insularités

L’île particulière fourmille de Mots. Pourquoi sommes-nous si nombreux à parler de la Mer ? On va finir par se répéter, Eux vont vraiment se lasser, nous sommes tous prévenu. Oh tu sais, c’est impossible à réprimer. C’est comme la fin d’une vague déroulée : inévitable. Le sable murmure les secrets renfermés dans sa vase, il raconte les Evasions, toutes ces Esquisses d’Esquives qui façonnent et fascinent les Insulaires. Il y a beaucoup de Navires à prendre, juste pour le plaisir de la Dérive. En voici les Missives. (Les Insularités sont le titre du nouveau carnet entamé hier, voilà, c'est très skozjprzj de changer de carnet, flou.)