Vermeil des boulevardsClos dans le rêve, murs qui s’avancent du pas lourd des briques ancestrales.
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Ou bien l’œil citera une autre vision
Ce vermeil des boulevards
Il pleut dans les artères
De la ville
De l’eau dorée
Les rues en pentes font couler cette chaleur
Les escaliers de Montmartre font chanter le déluge solaire
Vermeil des boulevards encore,
Aux lendemains de Festins
Où des Hybrides insomniaques étaient vêtus simplement de leurs Folies
Tout dort dans le délice serein
Au sein de la cité s’abreuvent d’étranges oiseaux
Aux grandes ailes noires de jais
Les parvis des cathédrales inaugurent la nouvelle Religion
Tous sont athées alors
Prier pour son salut dans ce décor ne suffit plus
On croit désormais aux Ivresses et à elles seules.
Après la nuit l’Aube confirme nos Pensées.
Vermeils-regards
Les miroirs déforment
Les idées
Vermeil sur les boulevards
Les hommes
Sont vidés
6 commentaires:
ah, toi aussi tu as viré de syblog, je ne savais pas. On quitte le nuage pour les chimères alors.
Evidement, pour le dessin, les MGMT n'étaient pas clairs (comme d'hab), parce que vu coment qu'ils ont trop pris leur pied en dessinant (la dame de la fnac gueulait parce qu'ils passaient trop de temps sur mon dessin), et vu ce qu'ils ont déssiné... (et vu le concert d'après), il y avait quelque substance surement illicite derrière... mais je les kiffe quand même (les MGMT)
Sinon oui, ça va assez, et vous Londres ?
++
Très chère inconnue, j'adore ton poème.
Je me suis également perdue sur blogspot :)
comme quoi ...
Elodie.(abnegation.skyrock.machin.blablah)
Merci du compmliment^^ désolée j'ai mis longtemps avant de répondre mais j'ai du mal avec Blogspot et je sais pas comment être avertie quand quelqu'un me met un commentaire. bref.
Le poème de ton article est de toi ? Il est vraiment très beau, très personnel, bravo :)
C'est bon de savoir que des gens partage le même avis ;)
qui es tu ?
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